La pompe à l’huile, c’est une tradition dans ma famille depuis des générations, je n’ai jamais passé un Noël sans pompe. Et encore ce n’est pas que pour Noêl, la pompe (c’est tellement addictif pour moi) que je la déguste dès mi-décembre jusqu’à mi-janvier, au petit-déjeuner… j’adore !! (et il m’arrive d’en faire dans l’année.. quand le manque est terrible !! lol ) ..
Mais depuis que je suis en Corrèze, je n’en trouve pas. Après avoir essayé pas mal de recettes, bidouiller les quantités, fait ma tambouille, j’ai fini par obtenir la texture et le goût de celle s qu’on achetait dans les boulangeries à Marseille. Tout d’abord pour le goût, il faut miser sur une très très bonne huile d’olive.
La texture de la pompe est très particulière aussi, elle ne ressemble pas du tout à une brioche (celle que l’on trouve dans les commerces est plus une pogne qu’une pompe). Après la cuisson, elle doit être ferme et être légèrement pâteuse en bouche !! Si vous avez la chance de la faire vieillir quelques jours, elle rassit, durcit et elle n’en ait que meilleure trempée dans le café ! Je vous conseille vraiment de tester 🙂
Place maintenant à la recette pour une grosse pompe et des pompettes 😉 et on se retrouve à la fin pour ma petite histoire sur les 13 desserts 😉