Je vous propose pour saluer ce 23ème pays de ce tour du monde en compagnie de « Cuisiner pour la paix », un bon ragoût hongrois. 

La caractéristique de ce pörkölt est son goût prononcé de paprika et la grande taille des morceaux de viandes. Pour le paprika, je vous conseille de goûter la sauce au cours de la cuisson et au besoin d’en rajouter, selon votre goût.

C’est un plat qui est souvent accompagné de crème sûre. La crème aigre en France, la crème sure au Canada francophone ou dans certains pays européens, la crème acidulée en Suisse francophone, est un produit laitier riche en graisses, obtenu par la fermentation de la crème avec certaines bactéries produisant de l’acide lactique. La population microbiologique, de culture introduite après pasteurisation ou naturelle si la crème est laissée crue, aigrit et épaissit la crème. Quoique seulement légèrement aigre, son nom provient de l’acide lactique qu’elle contient.

Je n’ai pas eu le temps d’en faire cette fois, mais c’est très simple. Il suffit de mélanger 20 cl de crème fleurette entière avec le jus d’un citron, du sel et du poivre (on peut aussi ajouter 1 c. à café de vinaigre de vin blanc). La préparation épaissie, le mettre au frais et c‘est prêt. Dans cette recette, j’ai vu plusieurs fois, qu’on peut en rajouter une bonne cuillère à soupe à la fin de la cuisson et de bien mélanger. 

Pour l’accompagnement, traditionnellement, on sert le pörkölt sur des Nokedlis (pâtes hongroises) ou des Spätzle (pâtes alsaciennes). J’ai trouvé ces dernières pour accompagner mon plat. Mais j’ai vu sur le net que la confection des Nokedlis avait l’air très simple, j’en ferai prochainement. 

Au final, c’est un bon plat réconfortant comme on les aime à la maison. Longuement mijoté, ils nous a bien régalé. 

Je vous retrouve pour le 17 en Irlande ! 

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