Catégorie : Boeuf

Bœuf à la coréenne, nouilles Udon

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Bon 15 août à tous 🙂 Aujourd’hui, nous avons 3 fêtes nationales. Je commence par la Corée du Sud où je vous propose un plat de nouilles Udon à la viande hachée de bœuf bien parfumé. 

Il est simple et rapide à cuisiner, pour les amateurs de saveur asiatique, c’est un plat qui peut se cuisiner le soir quand on est pressé et régaler la tablée. 

La Corée du Sud, un pays d’Asie de l’Est, occupe la moitié sud de la péninsule de Corée. Elle partage l’une des frontières les plus fortement militarisées du monde avec la Corée du Nord. Elle est également connue pour sa campagne vallonnée et verdoyante parsemée de cerisiers et de temples bouddhistes datant de plusieurs siècles, ainsi que pour les villages de pêcheurs de sa côte, ses îles subtropicales et ses villes high-tech comme Séoul, sa capitale.

La Première République a été fondée le 15 août 1948 après le transfert du gouvernement militaire de l’armée des États-Unis qui gouvernait la Corée du Sud depuis la fin du règne japonais en 1945.

A tout de suite pour la république du Congo (Brazaville). 

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Carne mechada – Venezuela

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Quatrième et dernier pays du jour. On s’envole pour le Venezuela. C’est un pays de la côte nord de l’Amérique du Sud, aux attractions naturelles variées. Le long de sa côte caribéenne se trouvent des îles tropicales de villégiature, dont l’île Margarita et l’archipel de Los Roques. Au nord-ouest s’étend la cordillère des Andes, et la ville coloniale de Mérida, point de départ des visites du parc national Sierra Nevada. Caracas, la capitale, se situe au nord.

Le carne mechada  est un plat typique et très populaire au Venezuela, qui consiste à effilocher de la viande de boeuf cuite et de l’agrémenter dans une sauce à base de tomate et poivron. Il est généralement servi avec un Pabellon qui est un assortiment de riz, d’haricots noirs et de bananes plantains frites. Ou avec des Arepas qui sont des galettes de maïs .

Pour la viande, on utilise un morceau de poitrine de bœuf  (ou de la bavette ou de la hampe) qui s’effiloche parfaitement après une longue cuisson. J’ai opté pour un beau morceau de poitrine qui était à moins de 10 €/kg. C’est finalement un plat économique au vu de la quantité. On peut facilement servir 6 à 8 personnes. 

Cette façon de cuire la viande la rend bien moelleuse, la sauce est bien épicée, c’est très bon. J’ai ajusté la quantité des ingrédients pour la sauce car quand je l’ai cuisiné, j’ai trouvé qu’il en manquait, la recette ne prévoyait que 2 tomates et 100 gr de sauce tomate. Je l’ai servi simplement avec du riz. Je me suis promis de la refaire avec des arepas 🙂

Je vous retrouve demain avec cette fois 2 pays ! On partira au Malawi et au Comores. 

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Mtewem en sauce rouge – Algérie

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Aujourd’hui, 4 pays ont leur fête nationale. Je commence par l’Algérie que je salue avec cette délicieuse recette que j’ai été prendre sur le joli blog de Soulef au doux nom d’ « Amour de cuisine« .

Je suis fan depuis toujours de cette cuisine pleine d’épices, de saveurs, de soleil. Mon choix s’est porté sur cette recette parmi une dizaine que j’avais sélectionné, car j’avais tous les ingrédients.

Le mtewem ou tajine mtewem (مثوم, en arabe) est un plat algérien, et plus précisément algérois, fait à base de boulettes de viande hachée, de morceaux de poulet ou de viande d’agneau et d’amandes. Sa sauce est préparée avec un oignon râpé et beaucoup d’ail, comme son nom l’indique (« mtewem » veut dire « avec de l’ail »).

C’est un plat traditionnel qui est très consommé lors du mois de ramadan et qu’on prépare souvent quand on reçoit des invités à Alger. Avec le couscous, c’est également un plat incontournable des mariages de l’Algérois.

Les ménagères remplacent parfois les amandes par des pois chiches. Les recettes diffèrent d’une maison à une autre et sont transmises de génération en génération. Il peut être préparé avec de la sauce blanche ou rouge.

Ici, Soulef l’a réalisé avec beaucoup de pois-chiches, quelques amandes qui viennent en décoration sur les assiettes et en sauce rouge (la préférée de son mari). Après lui avoir demandé quel type de viande elle avait utilisé dans sa recette, je suis partie comme elle, sur du bœuf pour tout le plat et en sauce rouge aussi 🙂  Verdict : Un régal !! .

Nous avons adoré ce mélange d’épices, de viande en morceaux et en boulettes, deux textures différentes pour un seul plat.  Avec les pois-chiches et accompagné de pain, c’est un plat qui se suffit à lui-même. Ne pas oublier les amandes (ce que j’ai fait sur les photos, je les ai mise juste au moment de manger), cela apporte vraiment un plus. J’ai lu sur d’autres recettes que l’on pouvait mettre une amande entière dans le cœur de chaque boulette ! à faire pour la prochaine fois. 

Je vous retrouve dans quelques instants pour le second pays du jour. (suite…)

Bœuf à la sauce coco et cacahuète – Tonga

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Les îles Tonga constituent un archipel d’environ 170 îles disséminées dans l’océan Pacifique sud sur un espace de 400 km du nord au sud, et 100 km d’est en ouest. On distingue trois grands groupes : le groupe Tongatapu (au sud) ; le groupe Vava’u (au nord) et quelques iles éparses ; le groupe Ha’apai au centre est constitué d’une quarantaine d’îles. Découvertes par les navigateurs hollandais au début du XVIIe siècle puis par James Cook en 1773-1777. Elles sont unies en un royaume autogouverné depuis 1845, une monarchie constitutionnelle en 1862 avec un protectorat britannique jusqu’en 1970.

Nous souhaitons une bonne fête à tous les Tongiens à l’occasion de l’Emancipation day, et anniversaire de la proclamation de l’Indépendance du Royaume-Uni, en 1976. Pour accompagner ce pays avec « Cuisiner pour la paix », j’ai eu un peu de mal à trouver une recette qui me plaise, puis je suis tombée sur celle-ci. Elle est parfaite. Simple, rapide avec des ingrédients que l’on a facilement.

C’est un plat plein de saveur avec le curry et le gingembre qui se marient à merveille avec le lait de coco. Un plat que je referais très certainement, car il a été très apprécié à la maison. Je cuisine rarement du bœuf dans des plats épicés et c’est un tort car c’est excellent. La viande cuite de cette façon est vraiment très tendre.

A demain au Danemark.

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Carpaccio de bœuf au parmesan de Venise

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Le carpaccio est aux beaux jours ce que la raclette est à l’hiver : une évidence !!! Pour représenter l’Italie, j’ai cherché un plat qui ne soit pas des pâtes et le carpaccio s’est imposé comme une évidence ;) À la maison, nous mangeons 1 fois par semaine de la viande rouge. L’été, on aime beaucoup se régaler avec une bonne assiette de carpaccio. Je prends toujours ma viande chez mon boucher spécialisé en viande locale du Limousin, bien sûr. Il me conseille toujours sur le morceau le plus tendre et savoureux qui se découpe à la fourchette, la tende de bœuf. 

Un morceau pas très onéreux, mais bien meilleur cru qu’un filet de bœuf. Le carpaccio peut s’accommoder de bien des façons selon les familles et je vous propose ma recette, celle que j’aime faire. Elle est simple. Il vous faut une très bonne huile d’olive, j’utilise toujours celle qui vient de la Fare les Oliviers dans le Sud, un bon citron, des baies roses qui apportent du goût, de la fleur de sel de Camargue bien sûr et du poivre mandarine. Sans oublier le parmesan !! Râpé ou en copeaux, on se le rajoute dans l’assiette à volonté. Mais connaissez-vous l’histoire du carpaccio ?

Le carpaccio est né en Italie, en 1950. Plus précisément dans les cuisines du Harry’s Bar, un établissement huppé de la cité des Doges, dont le chef Giuseppe Cipriani est reconnu pour sa cuisine. Le restaurant est spécialisé dans les grillades. Un jour, une comtesse arrive pour déjeuner : Amalia Nani Moncenigo. Son médecin de l’époque lui a fortement déconseillé de manger de la viande cuite et imposé de la déguster crue. La cliente demande donc au serveur un plat, mais de viande crue. À l’époque, les Tartares ne sont pas très répandus, mais cette demande spécifique va inspirer le chef.

Il décide de découper très finement des tranches de bœuf, tout en préparant un assaisonnement, à l’époque proche de la mayonnaise. Il faut ensuite trouver un nom à sa création. Alors Giuseppe Cipriani se souvient d’une exposition de Vittore Carpaccio, un peintre du 17e siècle, visitée quelques jours auparavant. L’artiste est connu pour ses rouges flamboyants. Inspiré par la couleur de la viande crue, il nomme son plat Carpaccio. 

Le nom est ensuite entré dans le langage courant pour désigner une préparation crue, finement découpée et assaisonnée. Il existe désormais des carpaccios de poissons ou encore de fruits. Attention à ne pas le confondre avec le ceviche, plat d’Amérique du Sud, où les produits sont découpés en cube et assaisonnés de manière différente ou encore avec le sashimi, les tranches de poisson découpées comme au Japon… 

Je propose cette recette à Cmum que je co-anime avec Viviane « Quoi qu’on mange? ». Ce mois-ci, Zika du blog La cuisine bônoise de Zika, nous a fait le plaisir d’accepter le rôle de marraine. Elle nous propose de lui cuisiner des plats d’été, simples, rapides et légers ! Pour « La cuisine de l’été« , je crois que ce carpaccio est parfait 🙂

On se retrouve le 4 au royaume de Tonga. 

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Khinkali Géorgien

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En tout début d’année, Marion du super blog « Marmotte… cuisine dilettante » a publié cette recette de Khinkali, de gros raviolis de Géorgie. Je suis son blog, du moins ses deux blogs depuis pas mal de temps, j’aime beaucoup sa cuisine. Quand j’ai vu cette spécialité géorgienne, je me suis dit qu’il fallait que je les fasse, même si j’avais déjà fait une autre recette pour la Géorgie que je devais poster aujourd’hui, mais ces gros raviolis m’ont vraiment fait de l’œil. Donc, c’est ces derniers que je vais vous présenter pour leur fête nationale en compagnie de Sophie pour « Cuisiner pour la paix », l’autre sera pour une autre fois !! :D

Après avoir lu attentivement l’article de Marion et regardé les vidéos qu’elle nous propose, je me suis lancée dans l’aventure en mobilisant l’aide de mon mari, à deux, ça va bien plus vite 🙂 . J’ai suivi la recette, j’ai ajouté quelques ingrédients en plus dans la farce selon les vidéos et j’ai choisi la cuisson au four. Marion les a faits en trois cuissons différentes,  je vous invite à aller voir son article ICI

Là où il faut vraiment prendre le coup, c’est le pliage. C’est à l’air simple, mais … pas si simple finalement !!! Je crois que pour bien les réussir, il faut étaler la pâte pas trop fine, car elle se déchire au pliage, les faire un peu gros pour avoir plus de pâte à manipuler pour faire les plies (un diamètre de 15 à 18 cm). 

En principe, il faut plier 18 fois. Le seul que j’ai réussi à faire à la perfection, c’est le dernier !! lol .. Le plus gros qu’on voir sur la photo. Les autres ne sont pas très très réussis, mais l’essentiel, c’est que ce soit bon. C’est aussi pour ça que je n’ai pas tenté la cuisson à l’eau, car ma pâte avait percé sur certains et j’ai eu peur que la farce parte dans l’eau. 

Ces khinkali sont vraiment délicieux accompagné de la sauce aux champignons. J’ai aussi ajouté une sauce à la menthe toute simple, c’était parfait :) La prochaine, je teste la cuisson à l’eau, je l’ai servirai uniquement avec du poivre et ensuite celle à la friteuse. Je ferais plus de pâte pour les étaler sur plus d’épaissseur et faire des raviolis plus gros. Cela fera l’objet d’un autre article. Merci Marion pour la grosse inspiration que tu m’as donnée ;)

Je vous retrouve le 28 mai pour les 3 derniers pays du mois. On ira en Azerbaïdjan, aux Bermudes et en Ethiopie. 

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Boulettes de bœuf aux fèves et citron

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Nous nous retrouvons pour célébrer deux pays ce jour. On commence par l’Israël. La date change chaque année se situant entre avril et mai, selon un calendrier lunaire et non solaire comme le nôtre. 

J’ai feuilleté le livre « Jerusalem » du célèbre chef Yotam Ottolenghi et de Sali Tamimi. Ces deux chefs ont tous les deux grandi à Jérusalem. L’un dans la partie israélienne et l’autre dans la partie palestinienne. Ils se rencontrent à l’âge adulte à Londres et deviennent amis. C’est avec ce livre qu’ils nous font découvrir leur passion pour cette ville au travers de la gastronomie riche, savoureuse et chargée d’histoire. 

Une cuisine pleine de senteurs, d’herbes fraiches, de recettes simples mais extrêmement parfumées qui nous emportent dans un plaisir gustatif intensif. J’ai choisi ce plat car j’avais des fèves surgelées depuis un moment, je venais d’acheter tout un tas d’herbes fraiches et la façon de réaliser les boulettes m’a mis l’eau à la bouche. Les deux textures de fèves apportent à la fois du moelleux et du croquant, ce plat est une explosion de saveurs. Un délice à chaque bouchée. 

Je n’avais pas l’épice « Baharat » qui d’ailleurs veut dire épice en arabe, mais j’ai trouvé à la fin du livre la recette pour la faire maison. Ayant toutes les épices de David Vanille, je me suis empressée de la faire. C’est un régal pour assaisonner viande et poisson grillés. Je vous l’ai noté, c’est très simple. 

Je vous retrouve dans peu de temps en Tanzani. 

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Hakk Kotletid – Estonie

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Pour ce 17ème pays de l’année : LEstonie :) pays qui me dit … Viens me rendre visite !! Je vous propose une recette .. très simple ! mais excellente qui constitue un très bon repas pour l’hiver. Les boulettes de viande sont très parfumées, bien moelleuses à l’intérieur. D’après ce que j’ai pu lire sur divers sites, c’est une recette que l’on retrouve dans toutes les familles comme nous … le pot-au-feu ! 

Les légumes simplement cuits à l’eau sont mis en valeur avec ce beurre pommade qui apporte un plus à l’ensemble du plat. Une recette que nous avons bien aimée et que j’ai apprécié faire un soir, car elle est assez rapide. En une heure, tout est prêt. 

Je vous retrouve demain au Koweït !

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Gratin de pommes de terre en millefeuilles farcies

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C’est avec ce délicieux gratin que je salue aujourd’hui les Libyens pour leur fête nationale. 12e pays de l’année, depuis 2011. La date a changé : en Libye, la fête nationale a lieu le 17 février, date de la chute de Mouammar Kadafi. Avant cette date, la fête nationale célébrait son avènement, le 1er septembre 1969.

Pour en revenir à ce gratin, il est fait avec des ingrédients de base. Simple, mais avec de bonnes épices et le plus, une l’omelette que l’on met dans les couches. Ça apporte un bon moelleux aux pommes de terre, les herbes parfument la viande. Un gratin qui fond en bouche et change de ceux que l’on a l’habitude de préparer. Une recette trouvée chez Nadji « Saveurs et gourmandises« , un blog que je visite depuis des années et qui a, à mon grand bonheur, beaucoup de recettes du monde.

Demain, on part en Gambie :)

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Ragù alla bolognese – Italie Bologne

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La sauce bolognaise, tout le monde connaît, nous avons chacun notre petite recette. Mais connaissez-vous la vraie recette ? Celle qui vient de Bologne et plus exactement de la région de l’Emilia-Romana. 

Mon arrière-grand-mère faisait très souvent cette sauce pour nous faire des lasagnes, mais aussi un bon plat de spaghetti ! Malheureusement, elle ne l’a pas noté dans son carnet de recettes et je n’en ai qu’un vague souvenir quand elle la cuisinait devant moi. La seule chose que j’ai bien retenue, car cela s’appliquait à pas mal de ses recettes, c’est qu’il fallait acheter des pièces de viande et la hacher soit même, ce que je fais depuis que je suis bien équipée. Du coup, je suis partie à la recherche sur le net et je l’ai trouvé sur le site de La gastronomie d’Italie. Elle est inscrite sur l’Académie Italienne de la Cuisine

Une sauce qui a embaumé la maison et nous a vraiment régalés. Elle est à la fois douce et parfumée, la viande est bien présente et ne baigne pas dans une grande quantité de sauce tomate. Il y a juste la quantité qu’il faut. Cela faisait un moment que je voulais faire la recette d’origine pour retrouver ce délicieux souvenir d’enfance et merci à Giulia du blog « Un déjeuner en Provence » pour son super thème « La pasta comme en Italie » qui m’a permis de me lancer enfin. 🙂

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Steak Worcester et champignons

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Une nouvelle recette de Jamie Oliver, pour le plaisir de Sofia du joli blog « Plume et Prose« , notre marraine ce mois-ci de « Compile moi un menu » que j’anime avec Viviane « Quoi qu’on mange?« .  Cette fois-ci, j’ai feuilleté mon livre « L’Amérique de Jamie ». Un bouquin de recettes américaines qui sont toutes aussi tentantes les unes que les autres. 

J’ai acheté des aloyaux chez mon boucher, une viande limousine, extraordinairement tendre et goûteuse dans l’idée de faire cette recette du Far West. La seule chose où j’ai dû faire une entorse, ce sont les champignons. Impossible de trouver des morilles ou des champignons sauvages frais. J’avoue que les surgelés ou en bocaux, j’ai du mal, car je les trouve mous !! Donc, je me suis rabattue sur des champignons de Paris frais.

La sauce Worcestershire apporte un délicieux goût à ce plat, les pommes de terre sont bien moelleuses et parfumées, la viande hyper fondante. Le tout, ensemble, est un vrai plaisir gustatif ! Une autre façon de se régaler avec un bon morceau de viande, même si comme le dit le Chef : « Rien ne vaut un bon steak grillé au feu de bois » !! 

Une recette qui a ravie mes hommes à midi pour le repas de la fête des papas 😀 (pour une fois, mon article était près, il ne me restait que les photos à mettre!!)

Voici trois références culturelles concernant cette fameuse sauce :

  • La sauce Worcestershire joue un rôle clé dans un épisode de la série South Park. En effet, en la confondant avec un liquide d’embaumement, deux employés de la morgue ressuscitent accidentellement le petit Kenny, mort écrasé par la station Mir. La contamination zombie menace dès lors la ville. Le service après-vente téléphonique des « Sauces Worcester », mis au courant du léger défaut de leur produit, conseille les héros pour mettre un terme à la crise.
  • Dans Shrek 3, le lycée du Roi Arthur s’appelle Worcestershire High School. L’Âne fait d’ailleurs une blague sur la célèbre sauce.
  • Dans Assassin’s Creed Valhalla, une mission secondaire consiste à aider un jeune cuisinier à élaborer une sauce, en vain. Ce personnage décide alors d’aller chercher l’inspiration dans la ville de Worcester, précisant au passage qu’il n’aimerait pas que sa sauce prenne le nom de cette bourgade.

Je propose aussi cette recette au challenge « Un jour, un livre, une gourmandise » créé par Sandrine de Ma bulle aux délices.

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Hamburger à la fourme d’Ambert et champignons

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Pour ma deuxième participation à notre Battle « Croque/Burger » sur Compile moi un menu en compagnie de Viviane « Quoi qu’on mange?« , j’ai choisi le hamburger. Comme ça pas de jaloux !!! Puis aussi, on adore les deux 🙂 C’est une cuisine facile faite maison qui régale tout le monde en peu de temps ! 

Cette fois, je l’ai fait comme j’en avais envie. Ni mon mari, ni mon fils n’en ont voulu. Ils ont préféré se faire le classique. Tant pis pour eux, moi, je me suis vraiment régalée avec. Le mariage, champignons/échalotte avec la viande et la fourme d’Ambert est un vrai plaisir en bouche. Je n’ai mis aucune sauce et pourtant, il n’était pas étouffant du tout. J’ai même trouvé que l’on sentait mieux le goût de chaque ingrédient. (C’est pour ça qu’ils n’en voulaient pas.. car PAS de sauce!! mdr).

J’ai accompagné ces burgers avec des potatoes au four. La recette que je fais très très souvent et qui est vraiment notre préférée. Je l’avais chipé à mon mari et au fil du temps, je l’ai amélioré à ma sauce, jusqu’à ce que je trouve, l’accord parfait. Elles sont très moelleuses à l’intérieur, bien croustillantes à l’extérieur et surtout un goût … je ne vous en dis pas plus, il faut les tester !! Et pour cela, je vous fais même un deuxième article avec la recette 🙂

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